Il referma la porte derrière lui, la verrouillant et abaissant le store...
Il s'approcha d'elle qui se tenait dos à son grand bureau de verre et s'étonna de la proximité qui restait entre eux. Elle chuchota son nom quand celui-ci se trouva si proche d'elle, mais il posa son index gauche sur ses lèvres, l'invitant à garder le silence, puis de son index droit, déjà sous la longue robe qu'elle portait, il le glissa entre ses cuisses sur la fine dentelle qui cachait sa voluptueuse sensibilité.
Il l'embrassa sur la nuque tandis que son doigt l'empêchait toujours de parler, puis disparaissait à présent de son regard, défilant jusqu'au-dessous de sa robe pour rejoindre sa main qui la caressait déjà.
Que faisait-il ? À quoi pensait-il ? Pourquoi ? Tant de questions qui disparurent quand elle sentit ses baisers entre ses jambes et ses deux mains retirer doucement sa culotte en dentelle, la faisant glisser jusqu'aux pieds qu'elle effleura.
Elle songea à cet instant, était-il réel ? Et quand elle sentit son souffle sur son clitoris, puis ses baisers, ses suçotements et enfin sa langue toute entière la lécher, elle se laissa s'affaler sur son bureau, l'imaginant tout entier entre ses cuisses à la découvrir et à la désirer.
Elle pouvait sentir chaque partie de son visage sur elle et jusqu'en elle et les mains qui grimpaient derrière ses cuisses pour la maintenir contre son visage, la humant et la goûtant de plus bel.
Comme s'il pouvait lire dans son esprit au moment où sa langue ne lui suffisait plus, il s'échappait de dessous la robe, la remontant jusqu'à la taille et tandis qu'elle s'agrippa aux rebords, elle sentit le sexe rigide glisser délicatement en elle, le gland gonflé par l'excitation, celui-là même qu'elle désirait ardemment, suintant à l'entrée, impatiente de le ressentir en elle. Il s'avança jusqu'à ce qu'il soit entièrement et profondément enfoui, jusqu'à ce que ses boules viennent caresser la rondeur des fesses en contre-bas, et tandis qu'elle tenta de le repousser dans un moment de lucidité, elle oublia aussitôt cette intention au plaisir de le sentir glisser en elle, dans l'autre sens, vers la sortie, n'attendant plus qu'une chose, qu'il y revienne, plus fort, plus profondément.
Et tandis que son bassin claquait contre le sien, que les fesses rafraîchis par le verre froid laissaient une trace de buée, il se pencha en avant pour lui ôter les bretelles et lui embrasser les épaules, la nuque, lui découvrant la poitrine qu'il vint embrasser à son tour, et ce, sans cesser de l'étreindre et de s'unir à elle.
Peu à peu, le souffle se fit rare et les gémissements apparurent. Autant elle que lui, dans une mélodie de plaisir, de crispation et de pénétration, tandis que son sexe entrait et sortait fougueusement en elle, qu'il la mordait de désir et que ses mains la prenaient pour lui montrer qu'elle lui appartenait, il se raidit encore davantage et son gland gonfla si fort qu'elle pouvait le ressentir en elle avant de se déverser.
Elle jouissait en gémissait tandis qu'il poussait un grognement de plaisir pendant que son sperme chaud s'écoulait abondamment jusqu'à s'étendre jusqu'à l'extérieur, coulant le long de la queue qui s'échappait doucement, puis sur la fente du vagin jusqu'aux fesses et enfin sur la table en verre.
Ses jambes fébriles se resserrèrent tandis que ses mains continuèrent de la caresser, des pieds jusqu'aux épaules, se remettant ensemble des émotions qu'ils venaient de partager....
... Elle le regarda, silencieuse, rêveuse, tandis qu'il lui exprima toute son admiration après avoir refermé la porte derrière lui.
Elle referma la porte, la verrouilla et baissa les stores.
Elle s'approcha de lui qui s'était accolé contre son grand bureau, et la complimentait de sa réussite, pour son restaurant et le reste.
Mais tandis qu'elle s'approchait de lui de plus en plus jusque tout près, il fut surpris au point de sentir son souffle.
Il s'apprêtait à lui demander ce qu'elle faisait mais elle se leva sur la pointe des pieds et l'embrassa. Sa main gauche se posa sur son torse tandis que sa droite descendait déjà jusqu'à la ceinture.
Ses hésitations s'effacèrent quand il sentit ses lèvres se poser sur lui et qu'elle s'empressa déjà de le ressentir contre elle.
Elle glissait sa main droite de haut en bas, épousant parfaitement la courbe du pénis qui s'érigeait sous le pantalon. Elle pouvait le ressentir grandir et durcir, tentant de repousser les vêtements qui les séparait d'un contact charnel.
Elle quitta ses lèvres qu'elle n'avait cesser d'embrasser, pour s'échapper jusqu'à la ceinture, s'agenouillant devant lui, défaisant sa ceinture puis abaissant les deux bas.
Quand le tissu passa sur le pénis rigide, ce dernier se dressa soudainement vers elle, tendu dans sa direction. Elle l'attrapa alors à pleine main, caressant et l'agitant vers l'avant et l'arrière, simulant de ses doigts fins son vagin serré et humide.
Elle continuait comme cela tandis qu'elle pouvait voir et ressentir l'excitation de l'homme qui serrait ses mains contre les côtés de la table en verre.
Et tandis qu'il commençait à simuler des coups de bassins, elle enveloppait le gland de sa bouche, déposant délicatement sa chaude salive puis sa langue sur l'entièreté du sexe.
Il avait l'impression de pénétrer un vagin chaud, humide et serré à chaque succion qu’elle appliquait, suivant avec désir et excitation chaque mouvement instinctif du bassin de l'homme devant elle.
Et tandis que l'excitation ne cessa de grandir en lui, il glissa ses mains sur le haut de la tête de la femme, caressant son crâne et accompagnant ses mouvements.
Allait-elle se satisfaire de le sucer jusqu'au bout ? Il voulut s'en dégager pour lui procurer autant d'excitation et de plaisir, mais d'un geste ferme, elle attrapa ses testicules dans sa main gauche et continua à le sucer et à le masturber de plus bel.
Son entrain le fit gémir et rapidement il sentit en lui monter le plaisir final, songeant qu'il s'apprêtait à éjaculer tandis qu'elle continuait encore à le sucer. Il voulut lui éviter de sentir son sperme chaud dans sa bouche et sur sa langue si agréable, mais comme elle lui résista tout d'abord, elle finit tardivement par laisser le flot se déverser sur sa langue et ses lèvres, s'écouler ainsi jusqu'à son menton puis sur ses genoux en contre-bas tandis qu'il se crispait de plaisir en gémissait gravement...
... Elle s'approcha de lui après qu'elle ait refermé la porte. Il était resté silencieux jusqu’à' ce qu'elle le sortit de ses songes en lui adressant la parole.